23
Number 23 is everywhere around. I see it, maybe you do too?
Je ne suis pas convaincue que le film avec Jim Carey en tête d’affiche sera à la hauteur de mes attentes mais j’irai sûrement le voir pour m’en assurer. Vous n’avez qu’à ouvrir l’oeil pour constater que ce chiffre maléfique est abondamment utilisé dans de nombreux films : la chambre d’un hôtel, l’heure sur un cadran, estampé sur un vêtement, l’étage d’un édifice, etc.
Bienvenue dans la paranoïa!
Cinéma québécois
C.R.A.Z.Y. de Jean-Marc Vallée prend l’affiche aux Pays-Bas. J’ai bien hâte d’entendre les commentaires de ceux qui iront le voir ici. C’est ce qu’on appelle un film «brandé» (du mot branding).
An Inconvenient Truth
Si quelqu’un a la chance d’aller voir le film, j’apprécierais vos commentaires. Je ne sais pas quand il sortira en salles en Europe mais je suis TRÈS intéressée par son contenu (en espérant qu’il soit le plus objectif possible). Si ça peut permettre à quelques personnes qui dorment de se réveiller…
Marie-Antoinette
Ce n’est pas parce qu’il s’agit d’un film de Sofia Coppola que c’est bon. Oh non… Quelle déception!
Le film a sa dose d’originalité (musicalement entre autres) mais est d’un vide absolu, d’une superficialité et d’une platitude extrême par moments. Vraiment… un film d’ados.
Voir la bande annonce ici.
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Se la couler douce
Bon, j’ai terminé mes comptes rendus de musées. Je peux maintenant vous parler de ma visite à Amsterdam que j’ai entreprise en tant que touriste pour la première fois (car précédemment j’étais allée à des entrevues).
Outre les visites de musées, je me suis promenée à travers les rues, appréciant le joli paysage, les odeurs de marijuana, la foule de touristes, les canaux, l’architecture. Amsterdam est une très belle ville. On sent tout de suite qu’il s’y passe quelque chose; que ça grouille de partout.
On retrouve sur les canaux principaux de petites maisons flottantes comme celle-ci. Elles sont habitées, oui oui! Je me demande comment c’est que d’habiter sur l’eau en plein coeur du centre-ville…
Je n’avais pas de but précis outre que d’assister à la présentation de Cremaster 3 de Matthew Barney au Filmmuseum dans Vondelpark alors je me suis arrêtée de temps à autres pour prendre une un café, une bouchée. Relaxe.
Je suis encore indécise par rapport à mon appréciation de Cremaster 3. Je n’ai jamais vu de film aussi «fucké» de toute ma vie (mon 908e film selon ma liste Excel). Ça surpasse mon mentor David Lynch! Cremaster 3 c’est de magnifiques images et de l’envoûtante musique mais un scénario plutôt déconcertant. Attention également aux coeurs sensibles : scène de torture plutôt ragoutante. Je le conseille toutefois aux amateurs de vidéo d’art et aux esprits tordus. Mis à part quelque détails, c’était fascinant. La question est maintenant : vais-je aller voir les Cremaster 1, 2, 4 et 5? C’est tentant!
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